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Des chiffres et des "lettres"

Croisant,...?
Croissant,...?
Tressant,...?
Vous y êtes presque!
C'est: TROIS-CENTS!

300: ce sera le numéro du prochain «Quelques Nouvelles» de notre ami Antoine Girin!

300 numéros: combien cela fait-il de messages et de lettres reçus par Antoine, qu'il lit, puis  nous retransmet ?

Combien d'heures et de jours passés à confectionner chaque mois ces envois ?

3 000,  30 000,  300 000... ? Arrivé à ce point, on n'arrive plus à compter, et pourtant ça compte...

Mais, avant tout, pour qui sont ces « Quelques Nouvelles » ?  A qui s'adressent-elles d'abord ?  Et au tout début qu'étaient-elles donc ? Comment tout cela a-t-il commencé ?

Eh bien, je suis trop jeune pour le savoir ! Mystère des origines.

Cependant je crois pouvoir dire qu'il s'agissait juste, au départ, d'une lettre envoyée à des « absents », c'est-à-dire aux amis absents lors d'un week-end ou une semaine de rencontres, afin de les tenir informés de la vie du groupe et des derniers évènements, et que ces amis puissent ainsi être toujours partie prenante de l'Aventure (spirituelle), même s'ils venaient à en manquer une étape. Et que le groupe vive. Et qu'il continue à vivre malgré les aléas et les empêchements qui peuvent venir affecter l'un ou l'autre de ses membres au fil du temps.

Nous pouvons dire, et nous sommes sûrement nombreux à pouvoir le dire, que si Quelques Nouvelles (QN pour les initiés)  n'existait pas, il faudrait l'inventer, et que s'il n'existait plus, il nous manquerait infiniment!

La présence de cette « lettre aux amis » et de l'esprit qui y est attaché, ce n'est pas peu dire.

L'amitié, la fidélité, le désir de  rencontres et d'échanges, le lien dans l'absence, et tout particulièrement le lien avec Marcel Légaut, lien qui est continuellement sous-jacent, comme une « basse continue », tout cela forme comme les lignes d'une portée musicale où vient s'inscrire chaque mois la partition composée des « nouvelles » récentes, des compte-rendus de toutes sortes, coups de cœur, joies, tristesses, etc... qui sont le terreau humain de toutes nos vies :

cette petite musique de vie, pourrait-on dire, arrive donc à sa trois-centième édition!

Un grand merci à celui qui a été jusqu'à aujourd'hui son chef d'orchestre : Antoine, lui qui a fait de nous plus que des lecteurs, car dans une belle interactivité nous avons été appelés à participer selon notre coeur et nos charismes à cette équipée !

Cher Antoine, MERCI à toi pour tout cela, et tout ce que nous avons vécu ainsi ensemble, et comme tu nous l'as dit lors de l'A.G. de notre association le 2 avril dernier :

« il y a là une fraternité qui ne passera pas... »

Que l'aventure continue !

Anne Seval