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Après 1970, aspects de l’activité de Marcel Légaut et des groupes ,d’après les papiers demeurés aux Granges dans sa chambre (1)

            À partir des années 70 et de la publication de ses œuvres majeures, l’activité de Marcel Légaut se déploie de plusieurs manières :

  • À Mirmande, dans le « groupe » qui est le sien, il peut recevoir des personnes qui souhaitent le rencontrer. Ainsi, une enseignante de philosophie de Beauvais, Geneviève Lanfranchi le rencontre le matin durant un temps et en tire les Dialogues de Mirmande.
  • Le 26 février 1988, un prêtre d’Angers qui a lu « dans les années 40-45 Paroles d’un croyantqui à cette époque [l’] a beaucoup marqué. Depuis [ajoute-t-il], j’ai lu presque tous vos ouvrages. C’est là que j’ai trouvé l’expression qui correspond le mieux à ma manière d’être croyant. Mais ayez la bonté de lire le manuscrit ci-joint que ‘‘ j’ai commis ’’. Et de demander à Légaut si « selon [lui] ces pages, parce qu’elles viennent d’un prêtre pourraient, par leur honnêteté, avoir quelque intérêt ». Rendez-vous est pris avec lui pendant le séjour à Mirmande du 4 au 11 avril 1988. Ce sera le 7 avril ; Légaut lui donnant un contact d’éditeur (Ehlinger).
  • Mais le lieu même de Mirmande permet à d’autres groupes de naître et d’avoir leur vie. Ainsi Guy Sohier est-il à l’initiative d’un groupe de lecture des œuvres de Légaut. À cette occasion, Légaut lit, explique ses écrits, mais montre aussi le cheminement qui ne cesse. La publication, par Guy Sohier,avec l’appui de Xavier Huot, du commentaire de L’homme à la recherche de son humanitéest à cet égard une source importante,tirage disponible à la magnanerie. Pour ce faire, une personne cristallise l’idée et propose un cadre pour juin 1986.

La Magnanerie, Mirmande, 1986

Dans le foisonnement de la littérature actuelle, peu nombreux sont les livres de vie. Parce qu’ils touchent à l’essentiel, ils sont d’accès difficile ; leur lecture demande un effort d’attention qu’un climat communautaire et la présence de l’auteur peuvent favoriser.

Un livre qui mérite d’être lu n’est compris dans ce qu’il peut apporter que lorsqu’on le fait sien, le corrige et le prolonge pour soi à force de le relire. Pour ce faire, il est nécessaire d’avoir l’esprit suffisamment dégagé des préoccupations quotidiennes. Ce sont ces considérations qui ont conduit à organiser des séjours communautaires d’une douzaine de participants au maximum et d’une durée d’une semaine, pendant laquelle l’axe principal de l’activité intellectuelle et spirituelle serait la lecture de livres de Marcel Légaut qui, lui-même, les reprendrait à haute voix en les expliquant et les complétant, de façon que chacun puisse, en échangeant à leur sujet, les approfondir et se les approprier. Le recueillement nécessaire pour que cette démarche personnelle se fasse dans les meilleures conditions demande que, pendant ces quelques jours, les participants se plient volontiers à une manière de vivre dans un climat qui facilitera à chacun le sérieux de la lecture, l’intériorité du silence et la concentration de l’esprit.

Expérience faite, voici l’horaire proposé que chacun aura à cœur de respecter :

7 h 30 – 8 h 00               Recueillement

11 h 00 – 12 h 00           Lecture silencieuse en commun

17 h 00 – 18 h 00           Lecture avec Marcel Légaut

19 h 45 – 20 h 45           Musique suivie de recueillement

Les séjours de printemps auront lieu du 5 juin après-midi au 12 juin, et du 19 juin au 26 juin.

Les dates des séjours d’automne (septembre – octobre) seront communiquées ultérieurement. Les frais de Séjour sont réduits au minimum. Si un séjour vous intéresse – printemps ou automne –, veuillez-vous inscrire, dès que possible, auprès de : Guy Sohier, 8 rue Jules Ferry, 38100 Grenoble

PS. Si vous connaissez des personnes intéressées, vous voudrez bien leur communiquer cette circulaire.

  • Des membres du troupe Légaut servent d’appui à des groupes locaux. Si aucune orthodoxie ne vient les arrêter dans leur réflexion, la venue et le passage de Légaut attestent un lien dans la durée. Il en est ainsi, à ma connaissance, à Saint-Étienne ou Besançon (Antoine Girin) ; Besançon pouvant servir de lieu pour un intergroupe, notamment avec l’Alsace , Haguenau, la maison Saint-Gérard et Jean-Baptiste Ehrhard ou encore Annecy où œuvre notamment François Garin.

      En avril 1988, à Aix-les-Bains, François Garin organise la venue de Légaut pour un groupe qui dure : « Nous pourrons entrer un peu plus dans ce qui a été vécu en profondeur par Jésus dans sa vie humaine pour ainsi vivre dans son esprit. Dans votre dernier livre vous y revenez sans cesse et c’est bien sûr ce qui est essentiel. Mais chrétiens observants et obéissants, la plupart d’entre nous hésitent à exercer leur liberté dans ce domaine… ».

      Pour préparer cette rencontre à Annecy, François Garin donne lecture à Légaut du témoignage d’une enseignante « de base » :

« Je lis et relis Méditation d’un chrétien du XXe siècle et j’en suis bouleversée. Il y a peu de temps que j’ai fait connaissance avec la pensée de M. Légaut. Grâce à ma participation aux Équipes enseignantes, j’avais éliminé beaucoup de choses naïves racontées par les Évangiles mais pas à la radicalité de ce que propose M. Légaut. J’espère que nous aurons une ou deux rencontres en petit groupe avant celle d’avril avec M. Légaut.

J’aimerais que nous puissions rassembler, en groupe, ce qui nous paraît essentiel et particulier à sa pensée. Exemple : « le fait que Jésus soit considéré comme un homme qui chemine, fidèle à une mission qu’il sent monter en lui, en réponse à l’appel de Dieu, qu’il nomme son Père. Quand j’ai dit ça à mon curé, il a poussé les hauts cris… »

  • Toutefois, en dehors du groupe Légaut ou de ses membres, d’autres groupes s’esquissent.

      À Caen, en septembre 1988, une équipe de recherche, d’approfondissement et d’animation liturgique pourrait écouter Marcel Légaut s’il passe au carmel de Saint-Sever. Et de signaler qu’« il est beaucoup plus facile de vous écouter que de vous lire ». En novembre, une seconde lettre précise que cette équipe est une « ébauche de communauté de base et de foi » .

      L’invitation faite à Marcel Légaut de venir partager son cheminement s’accompagne d’une part d’un travail de préparation en plusieurs temps (lecture, discussion, synthèse), travail facilité par une communauté de réflexion dans une famille d’esprit qui se cherche et peut se trouver dans les écrits de Légaut. Ainsi :

  • En 1987, autour d’un petit groupe qui s’est réuni, s’est réparti le travail d’étude des textes que Légaut a proposés, après une synthèse, envisage une rencontre en Saône-et-Loire, à proximité de Saint-Gangoux-le-National : « Nous devons dire que, malgré le peu de temps dont nous disposons pour la lecture, c’est avec beaucoup d’intérêt que nous découvrons vos ouvrages dans lesquels nous trouvons exposés clairement des pensées que nous percevions plus ou moins confusément en nous-mêmes et des pistes de réflexion nouvelles ». Ce sera donc à Mazille où, en décembre, un groupe autour de Paul Kohler rejoindra Marcel Légaut.
  • Telle personne du Chesnay (Yvelines) souhaite rencontrer Légaut pour avoir un avis sur ses écrits et « lancer quelque chose sur Le Chesnay à partir de vos livres parce que je demeure persuadé, aujourd’hui plus que jamais que vous avez quelque chose de vital à dire à l’Église et aux jeunes d’aujourd’hui » (novembre 1988). On est là à une amorce, Légaut l’aura vraisemblablement encouragée, encore faut-il qu’elle puisse prendre, et durer quelque peu.

      Ces groupes ont une vie interne, s’ouvrent à un public plus large et donnent ainsi à Légaut l’occasion d’exposer son chemin. En mars 1987, une fin de semaine s’esquisse à Saint-Guilhem en deux temps :

« Notre petite communauté a travaillé cette année les deux chapitres ‘‘ Devenir disciple et Communauté de foi ’’ », thèmes à examiner le samedi après-midi ; « le dimanche étant ouvert à un plus grand nombre » avec pour thème ‘‘ Devenir disciple dans l’Église aujourd’hui ’’ » (Jean Parodi ?).

      Des groupes constitués invitent Marcel Légaut, et l’on a en 1988 et 1989, des échanges nombreux entre la communauté de l’Olivaie (Jean-Paul Russeil, Pierre Guibert, les fondations liées du monde nouveau à Saint-Germain-en-Laye ou Biot).

  • Écrivain édité, « conférencier mondain », Légaut n’écarte pas des initiatives permettant la diffusion de ses entretiens, notamment avec le Chemin Neuf. En février 1988, Jean-Pierre Nave, du Chemin Neuf, lui donne un éclairage sur la diffusion de la 1èrecassette enregistrée :

« [Elle] commence à se diffuser doucement […] Je crois qu’elle fera lentement son travail dans ces milieux du Renouveau où beaucoup sont aujourd’hui en attente d’une nourriture moins sucrée… »

Sans compter les courriers reçus, témoignant d’une correspondance intense : 

  • De Tarragone, Domingo Melero, dans une lettre de 10 pages du 17 décembre 1985, souhaite réfléchir devant Marcel Légaut, faisant le point sur sa trajectoire personnelle (jésuite, menuisier, portier, professeur) et chercheur hors institution. Il propose à Légaut de le publier dans une revue de l’abbaye catalane de Montserrat (Questions de vida christiana) et se porte comme traducteur de l’œuvre de Légaut en espagnol, ce qui fut fait.
  • D’Avignon, en 1963, parvient à Légaut une lettre d’un auditeur de sa conférence à Rennes en 1956. Celui-ci a lu Travail de la foiet sollicite le prêt de Condition chrétienne. Légaut lui prête son exemplaire personnel et ce militaire (Mazan ?) « d’un esprit vaguement cistercien »… le remercie chaleureusement.
  • Telle lettre fait état de situations personnelles inextricables et Légaut a pu aider, l’intéressé le citant en avril 1988 : « Le meilleur de lui-même et le moins bon le poussant dans deux directions opposées et aussi paradoxalement dans la même direction tellement tout est inextricablement mêlé dans l’homme ». Ou tout simplement,d’aucuns se reconnaissent dans la démarche de Marcel Légaut, ce qu’évoquait dès les année1972 ,un recteur breton[2]qui lui écrit,et reçoit le conseil de prendre un congé de dix mois : « En 1971, je lus  Marcel Légaut dans L’Homme à la recherche de son humanité . J’y reconnus ce que je cherchai en vain. Tout seul, je n’osais pas  m’affirmer à moi même que la foi, c’était ça: prendre la vie au sérieux… Marcel Légaut a libéré la protestation que je portais en moi et qui n n’osait pas s’exprimer.. » 
  • Enfin, de la « nourriture » lui parvient de Poitiers : Raymond Bourrat rédige pour lui un document sur le poète Pierre Reverdy (1889-1960), document sollicité par Légaut. Après une biographie, Raymond Bourrat,agrégé de lettres et ancien de Saint Cloud donne l’armature de son étude de 26 pages, suivie de nombreux poèmes :
    • La vision du monde : notre situation de prisonnier se décline en cinq thèmes : la prison ; la nuit ; la solitude ; le néant ; l’attente.
    • Comment tenter de sortir de cette prison ? Deux moyens : la religion ; la poésie.
    • Les étapes vers la sortie sont nombreuses et incertaines : les obstacles ; la marche ; le pressentiment de l’existence délivrée ; le refus de l’évasion ; notre situation dans l’entre-deux ; la présence-absence ; la quête sans fin sur les chemins tournants.
    • Comment la poésie va-t-elle nous aider dans l’aventure spirituelle, être une aventure spirituelle ? Le poète offre plusieurs chemins : le dépouillement ; l’émotion ; l’image ; l’esprit et le cœur ; le lyrisme des profondeurs ; la liberté.

Deux strophes extraites du poème Cœur de la roue :

Pourquoi s’étendre si longtemps dans les plumes de la lumière

Pourquoi s’éteindre lentement dans l’épaisseur froide de la carrière

Pourquoi courir

Pourquoi pleurer

Pourquoi tendre sa chair sensible et hésitante

À la torture de l’orage avorté.

Pas à pas je compterai ma vie rebelle

Mot à mot je lirai cette lettre cruelle

Et sur les épines du soir

Sous les pointes rougies du ciel à pile ou face

Je jetterai mon sort vide dans le fossé

Et les désirs

Et les retours

Et les nœuds trop serrés de la distance

Je laisserai sur le tranchant du vide toutes les croix

Tous les reflets perfides de l’espoir été de la chance…

  • Une note manuscrite de Thérèse de Scott résume en deux pages un article paru dans Espriten février 1984 sur le mouvementCommunio qui regroupe Hans Urs von Balthasar, Jean Daniélou, Gaston Fessard et Henri Bouillard. L’édition de la revue Communio a commencé en 1975, trois ans après la naissance du mouvement, édite en dix langues et, en France, dispose de 4.200 abonnés. Thérèse de Scott indique la conclusion de l’auteur : « les représentants du mouvement Communio ont la prétention d’être les interprètes sûrs de la tradition chrétienne. Et que le mouvement entretient la confusion. »
  • Quant à Jacques Brothier, il adresse à Légaut deux tirés-à-part sur Péguy, dont un publié par L’Amitié Charles Péguy(janvier-mars 1978) et un projet d’article « Le Cas Péguy »(Péguy et l’expérience naturelle de l’homme, Péguy antimoderniste, le jugement ridicule, n’aimant guère la moderne exégèse ). Dans une revue non répertoriable, Brothier, écrit « Une histoire arrivée à la Terre » (14 p.), précisément l’article « Le Cas Péguy » dont le titre a changé. Dans le bulletin de L’Amitié Charles Péguy, Jacques Brothier décortique le catéchisme laïc de Mangasaran  publié dans le cahier VII de La QuinzaineLe Monde sans Dieu, avec un Avertissement, il passe au crible (p. 23-76) la société qui succèdera au catholicisme, le radicalisme que pourfend Péguy et la réflexion de ce dernier par rapport au catholicisme.

            Grâce à la correspondance reçue par Marcel Légaut, on peut donc avoir une lueur sur ce que des membres du groupe lui apportent comme ouverture, sur l’un ou l’autre groupe en lien avec des « anciens » sur des groupes hors-les-murs qui trouvent un écho de leurs interrogations en Légaut, des initiatives prises dont nous ne connaissons pas le déroulement. Légaut , lorsque je l’interrogeais aux gGranges sur son attirance par rapport à Henri Bosco , prenait de la terre sèche, la jetait en l’air, constatait son éparpillement dans l’air et l’impossibilité de la saisir. Bosco, c’est,avec Malicroix, une atmosphère, par nature insaisisable.Il y a de cela dans son œuvre. Mais aussi une écoute, un accueil, un itinéraire  de groupe à groupe à 87-89 ans. Et pour 1991 s’annonçait déjà une conférence organisée en octobre 1990 peu de temps avant sa mort…

(1) Cet ensemble a été rendu possible par l’amitié de Denis Légaut à Reims qui a mis à disposition les documents et correspondances qui se trouvaient dans le bureau de Marcel Légaut aux Granges. L’ensemble a été déposé aux archives départementales de la Drôme

(2) Jean Doré, Recteur breton, L’Harmattan, 1979, p.9. En sachant que ,dans ce type de conseil, Marcel Légaut savait accueillir ou aider financièrement.

 


 

Documents se trouvant dans le bureau de Marcel Légaut aux Granges, recueillis par son fils aîné, Denis Légaut et transmis à Reims en décembre 2023 pour être déposés aux archives départementales de la Drôme

  • Rencontre avec Marcel Légaut (83 p., Chimay). 

Commentaire par M.L. à Chimay en 1983 de Méditation d’un chrétien du XXe siècle (ouvrage qui paraît alors).

  • Lettre de Rémi Parent, Montréal à M.L. du 4 mars 1990.
  • Invitation à signer ses livres en septembre 1990 par l’Association des écrivains croyants d’expression française.
  • Témoignage sur la culture (et maisons de la culture) envoyé à M.L. par André Bourdil, né à Pau en 1911, polycopié de 8 pages en 1974.
  • Le cerveau, l’esprit et la raison, méditation d’un chirurgien, s.l., s.d., 10 p.
  • Tirés à part de Jacques Brothier envoyé à M.L. sur Péguy.
  • Célébration proposée par M.L., s.l., s.d., 6 p.
  • Envoi de Gilles Le Gall, le 9 janvier 1988, d’une réflexion sur La parabole du fils prodigue. Introduction à l’intelligence des paraboles dans le NT, 34 p.
  • Lettre de Domingo Melero à M.L., Tarragone, 17 décembre 1958, 18 p.

 De l’écrivain Marcel Légaut, Luc-en-Diois, France. « L’homme occidental à la recherche d’un humanisme total » in Pro mundi vita, Bulletin, 69, novembre-décembre 1977, Bruxelles, p. 13-21.

  • Julien Potel, Société d’aujourd’hui et désirs pour l’Église, polycopié, 1989, 23 p. (citant l’Appel de Marcel Légaut publié dans Le Mondedu 21 avril 1989) et réponse manuscrite de M.L.(se trouve décryptée sur le site de l’ACML).
  • Échanges, Bulletin de liaison entre les amis de Mary et Louis Evely, décembre 1980, 20 p.
  • Association des écrivains paysans, circulaire n° 3, 1979, avec envoi de son secrétaire Maurice-Pierre Fardeau, 15 p.
  • Liste des participants aux rencontres à Mirmande en 1986 et 1987 : 53 et 5 épouses 
  • Centre de La Briantois (Nantes), 16 inscrits le 23 février 1989, dont Guy Luzsensky (Boquen).
  • 2 pages de M.L. sur son l’Appel publié dans Le Mondedu 21 avril 1989.
  • Correspondants du groupe.
  • Reverdy par Raymond Bourrat, 17 p.
  • . Tiré à part de A.L. David, « G. Tyrrell. La révélation en tant qu’expérience » avec envoi « À M.L. Avec toute ma reconnaissance pour votre livre où j’ai l’impression d’avoir pu pénétrer, grâce à Tyrrell. La traductrice »  des sc. religieuses, p. 240-269 (après 1971). Introduction par Maurice Nédoncelle.
  • Hommage de Jacques Le Goff à Marie-Dominique Chenu, dominicain, à Notre-Dame de Paris le 15 février 1990.
  • Lettres de Geneviève Lanfranchi à M.L. à la suite des Dialogues de Mirmande(1984).
  • Cartes de vœux, photo de Jérémie, handicapé, et de sa mère (1988).
  • Lettre du Centre chrétien universitaire Pasteur (Lyon) pour intervention le mardi 24 novembre 1987 sur « Vie spirituelle et morale de la responsabilité ».
  • Deux poèmes envoyés de Grenoble par Barriac [?].
  • Circulaire du Tison(1980) à Nyons, Association pour la réhabilitation et l’épanouissement des arriérés profonds.
  • . Correspondance, dont François Garin (1988) ou Guy Nave (Chemin neuf).
  • Eugène Ober, Que d’histoires. Un chrétien parle aux chrétiens (à travers l’année liturgique), Colmar, 1974, 250 exemplaires, 32 p.
  • Jean Gallanchez à Villiers-sur-Marne sur l’orthodoxie d’Evdokimov, réflexion de 86 pages manuscrites.
  • Exposé de Jean Jacob à Mirmande en août 1987, dactylographié, 14 p. (Évangile de Marc) et 2èmeentretien du 4 juin non daté.
  • Exemplaire de M.L. de Catherine Pozzi, Poèmes, Gallimard, 1959, 42 p.
  • Accomplissement spirituel et sainteté, et courriers d’une sœur du Carmel d’Amiens en 1989.
  • Réaction du docteur Di Vittorio à l’Appel.
  • Poèmes de P.K[oehler], Haut-Rhinois, en 1986, suite à Légaut « cueillir sa gerbe… »
  • Demande d’entretien à la suite de la parution d’Un homme de foi et son Égliseen 1988.
  • Textes de Geneviève Lanfranchi (1979) :
    • Une double méthodologie (7 p.)
    • Le vécu poétique (30 p.)
    • Pureté valéryenne et mystique pure (La Sainte-Baume, 1982, 35 p.)
    • Bouddhisme et « vacuité » (15 p.)

et réactions à la lecture des Dialogues de Mirmande.

  • Chronique de Boquen, n° 80, hiver 1990-1991, « Marcel Légaut, notre ami », par Guy Luzsensky, p. 21-25.
  • Tiré à part du Père d’Ouince, « Dans le conflit des opinions ». Conscience du péril. 1937, les Etudes ?
  • Correspondances (année 1988 surtout) : François Garin, Guy Sohier, lettres de M.J. Houël (8 p.), d’Aubier (droits d’auteur, réédition), Mado de Marciac, ,Jean Pierre Nave (Chemin neuf), Pierrette Crémieux (Marseille), Charles et Ruth Gaible, Any Lafrance (Québec ?), Communauté de l’Olivaie, Michelle Duquenne, de Liège ( demande de préface pour un auteur belge Arnold), P. Babin, Heitz, Haquin (demande de témoin de mariage) Mary Evely, Frecenon , Perrot, Catagon, Mathieuxpréparation rencontre au Coët en 1991 le 26 octobre 1990), Sœur Thérèse Marguerite (Mazille, le 2 mars 1989), Louis Tronchon.