Edito - février 2025
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En hommage à Gérard Bessière
Ils se levèrent, l’un à la suite de l’autre, depuis Loisy, Lucien Laberthonnière, Jean Steinmann, Marcel Légaut… ces hommes de recherche et de foi que l‘on disait « modernistes ». L’été dernier, mélangé aux foules pieuses de la cathédrale d’Albi, je me suis arrêté un moment, après une recherche ardente, devant la tombe de l’évêque Eudoxe Mignot, si ouvertement « moderniste » et audacieux pour encourager la recherche d’intelligence de la foi. Aujourd’hui, nous sommes en retour de piété au risque de la confiscation de toute pensée critique, c’est-à-dire discernante. Gérard Bessière, prêtre « chercheur » vient de nous quitter, le 8 décembre dernier, à Luzech. Il sera demeuré fidèle à sa terre de Cahors ; il aura passé toute sa vie à transmettre l’évangile non en catéchisme mais comme un Souffle, appuyé par une longue quête intellectuelle. Il aura accompagné les Équipes enseignantes et recherché des médiations en vue de transmettre l’énigme et le mystère : le feu de l’espérance non en un dogme ou une vérité tonitruante à avaler telle quelle, mais comme une nouvelle, bonne pour la santé de l’humain. Il était de ces êtres rares, éblouis, qui diffusent une joie profonde en de toujours si justes mots. Il portait vif le mystère essentiel et se cachait pour vivre vrai. Commencer par se défaire des formules toutes faites. Garder dans le grain de la voix, le soleil qui laisse deviner. User du conte pour mieux dire le secret : il n'est que d'aimer Jésus. Il l'avait déshabillé des théories et des dogmes et son cœur allait tout droit à l'amitié de chaque vivant. Comme il avait estimé Pierre-Joseph Proudhon, inclassable comme lui ! J'ai appris de lui à préparer le foyer, à disposer le bois en travaillant le vide autour. Tout est là : ne pas en rajouter, laisser le vide appeler le feu. L'essentiel ne s'impose pas, il se laisse deviner, il permet de respirer large. Gérard n'aimait pas la coercition et les systèmes clos, il se savait contemporain de l'homme Jésus. Comme dans la finale du film Ben Hur, il n'était qu’un regard ébloui quêtant à son tour celui qui l'avait subjugué dès l'enfance. Théologien-poète, théologien en forme de prière et en mots ensoleillés.
Les éditions Diabase, qui l’ont publié jusqu’au bout ont transmis l’état dernier de sa recherche et la part des questions qu’il portait. Cet éditorial voudrait saluer avec attachement et considération la mémoire de ce prêtre fin et joyeux, éminemment humain, respectueux des démarches de chacun.
Il avait créé, aménagé chez lui dans la dépendance d’une maison familiale, un espace de dialogue, habité de l’humain. Un sourire espiègle, un souci du détail quotidien, une manière d’inventer des attentions inoubliables. Je me contente, pour le cerner, de citer les toutes dernières pages de son « arborescence infinie » (pp. 303-4).
« La divinité de Jésus, je la vois comme une ouverture à l’horizon de l’humain, sur une lumière d’au-delà. Jésus est cet être qui a été plus loin que toutes les avancées des saints personnages du passé. Impossible de le ranger parmi les modèles reconnus. Il était inclassable.
Dans ce dépassement, cet excès, cette nouveauté inassimilable, on a vu le surgissement de l’Ailleurs, de l’Absolu qui aimante l’humanité dans sa marche, depuis des origines obscures. Un visage, des mains, des pieds, une voix rendaient soudaient proche, présent, « humain » … l’Ineffable.
La fermentation, les démarches, les rites des religions allaient l’habiller : culte, théologies, morales ont déferlé sur lui. On l’a adoré et aussi interprété, utilisé parfois.
Aujourd’hui en certains de nos pays, ces revêtements tombent en lambeaux. Peut-être va-t-on rencontrer à neuf celui qui a renversé toutes les barrières et reculé toutes les limites. C’est dans la vie la plus quotidienne, dans les rencontres banales, qu’il déchire nos inconsciences et nos étroitesses pour nous faire vivre de son humanité qui semble plus qu’humaine.
Le mot « divin » vient à l’esprit mais ce sont toujours des hommes qui le balbutient ou le murmurent à l’orée du silence. »
Et de clore ainsi : « Serai-je devant toi, Jésus au bout du chemin d’Emmaüs où je t’ai sans cesse cherché jusqu’à ce que le soir tombe sur ma vie ?
À l’instant où mes yeux se fermeront, te verrai-je en train de nous rompre le pain ? Je ne sais pas, je ne sais rien, j’espère. Mais à jamais je te remercie d’avoir été le berger de toutes mes transhumances. »
Joseph Thomas
Quelques nouvelles février 2025
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La lecture (6 et fin)
Je vais terminer cette méditation en vous parlant de la tradition. Le premier sens de tradition, c'est le sens enseignant, c'est le plus facile. On enseigne les mathématiques, ça fait une tradition enseignante. On est même allé jusqu'à vouloir enseigner la vie, c'était une vie un peu cristallisée mais dans la mesure où cette vie cristallisée accepte d'être enseignée, c’est encore une tradition enseignante. Les écoles de spiritualité, c'est une vie cristallisée. Voilà une première forme de tradition.
II y a un deuxième niveau : la tradition sur le plan inspirant. C’est la tradition des écritures. Elles sont vraiment inspirantes quand elles nous rendent inspirés, nous communiquent une sagesse par le dedans qui nous permet précisément de recevoir du passé et des inspirés du passé un fruit de communion avec eux pour nous permettre de mieux vivre. Très fréquemment les écritures sont lues comme des livres d'enseignement et non pas comme des livres inspirants. À ce moment-là, si vous prenez les écritures sur le plan enseignement, la tradition des écritures coïncide exactement avec le plan de la loi.
II y a un troisième plan qui est capital, c'est le plan de la "révélation". C'est celui où on découvre les personnes. C'est donc un plan qui va au-delà des écrits : aux auteurs. Lorsqu'on peut atteindre ainsi les personnes dans leur "présence", malgré qu'on ne les ait jamais connues ou qu'on ne les ait perçues qu'à travers leurs écrits, de manière à nous les rendre présents, plus présents que beaucoup de gens qui nous sont présents physiquement, nous atteignons le niveau de la tradition. C'est ce qui fait le centre même, ce qui nous rend utiles et même féconds les deux autres plans. (…)
Par tous ces êtres qui sont pour nous des maîtres spirituels et que nous pouvons atteindre à travers leurs œuvres inspirées, nous atteignons Jésus. Jésus est le centre autour duquel ils reçoivent leurs propres possibilités de témoigner de sorte que Jésus est proprement "révélation". Pour qu'il ait été révélation, il a fallu qu'il soit d'abord inspirant. II y a dans la vie de Jésus tout un aspect "d'inspiration" dont les évangiles ne sont qu'un écho refroidi et déjà éloigné. C'est au-delà et à travers ce qu'il nous a appris quand il nous a parlé que nous découvrons et que nous recevons sa propre révélation, la révélation de ce qu'il est lui-même, révélation qui va au-delà des enseignements qu'il peut nous donner.
La grande tentation que nous avons, c'est de réduire la révélation à l'inspiration et l'inspiration à l'enseignement. Le résultat est que, au lieu d'être la possibilité d'une vivification véritable, c'est pour nous, après un départ relativement facile, presque fatalement une cristallisation. (…) Je crois que tout un aspect grave de notre christianisme est que, pendant des siècles et des siècles et peut-être encore maintenant, nous confondons ces trois plans de tradition. En général, par paresse et par simplicité, la révélation proprement dite, qui est extrême, qui est Jésus dans son originalité essentielle, nous la restreignons. Nous rabaissons ce niveau de la révélation au niveau de l'inspiration qui est lui-même pratiquement au niveau de l'enseignement.
Voilà ce que je voulais vous dire. J’ai tout de même l'impression que ces idées ne sont pas coutumières. (Fin)
Marcel LÉGAUT
Topos des Granges de Lesches
Été 1961 - Ed.Xavier Huot p.286-287
Où Marcel et Marguerite Légaut mettent-ils les pieds en s’installant aux Granges-de-Lesches (Diois) en novembre 1940 ?
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Quand je suis arrivé dans mon pays, il y a trente-sept ans déjà, tous les hommes qui [155] professaient la religion catholique (la région est en gros mi-catholique, mi-protestante) allaient à la messe régulièrement les dimanches (sauf en automne, pendant l'ouverture de la chasse…). C'était chez eux une coutume qui remontait à des siècles... Depuis que la messe n'est plus célébrée dans leur village que de temps en temps, à intervalle de plusieurs mois – et demain ce ne sera plus que pendant les vacances par des prêtres estivants ou de passage – il est significatif qu'à part les quelques vieux, de moins en moins nombreux, assujettis à leurs habitudes, les jeunes et plus généralement les « actifs » ne souffrent absolument pas de cette situation au point même de ne plus aller à la messe les quelques dimanches où elle est encore célébrée…
Ainsi, ce qu'on aurait pu croire enraciné par une pratique multi-séculaire dans ce peuple, qui travaille de père en fils la terre de famille, se trouve en voie de disparition comme si rien dans le passé n'en avait existé. La race est saine, courageuse, digne de la liberté des êtres responsables de leur travail. Le grain de l'évangile n'a rien perdu de sa puissance de germination dans le coeur de l'homme, mais nul n'a su le semer à la profondeur humaine voulue. Il faut oser le dire. L'Église a à peine commencé l'évangélisation du monde, elle s'est seulement efforcée de le moraliser. Elle a en partie réussi à le civiliser. Il faut le reconnaître. On s'en aperçoit quand son influence disparaît. Alors l'antique barbarie païenne réapparaît avec d'ailleurs des moyens et des techniques de violence perfectionnées…
Pouvait-il en être autrement dans le passé ?
Les Granges-de-Lesches pendant la seconde guerre mondiale
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Interrogée par un résistant diois, Jean Abonnenc[1], Marguerite Légaut retrace, en 2004, la vie aux Granges-de-Lesches durant la seconde guerre mondiale[2]. Voici les extraits concernant cette période :
« Pendant la guerre et après, nous n’avons jamais été plus de dix-sept et malgré cela, nous avons eu souvent faim.
Nous n’avons jamais eu de problèmes religieux. La menace qui pesait sur tant de personnes physiquement faisait un peu des questions religieuses un luxe. Nous n’avons eu que quatre juifs pendant presque toute la guerre et quelques passages. Il y a eu mes beaux-parents, trois enfants, quatre ou cinq juifs, de jeunes alsaciens, un allemand (neveu de Molke [sic ??? pour le général prussien, c’est Moltke) et beaucoup de passage… [Mon mari] n’a jamais fait de résistance. Un des dirigeants lui avait demandé de ne pas venir parce que mon mari était capitaine et le dirigeant résistant n’était pas aussi gradé. En plus, je ne pense pas que cela l’aurait beaucoup intéressé.
Ce qui me frappe beaucoup, c’est de repenser à ce qu’on croyait alors et qui maintenant paraît une aberration : on disait quand les allemands arriveront, on attellera les bœufs à la charrette et on partira dans la montagne. Je ne sais si cette déformation en concerne que nous ou si c’est général : si un certain nombre de personnes manquait de réalisme comme nous.
En face de la maison, de l’autre côté de la vallée, on avait construit une cabane où les plus menacés pouvaient aller dormir. Il y avait une grande porte à glissière et on disait à ceux qui dormaient dans la cabane « si la porte à glissière est ouverte c’est que vous pouvez descendre, si non, ne descendez pas ». Mais jamais les allemands ne sont venus.
Nous avons eu souvent faim. On mangeait des feuilles de betterave, des topinambours en disant « c’est comme du fond d’artichauts ou encore de la vesce. On avait peu de pommes de terre et comme on interdisait la chasse, ce sont les sangliers qui mangeaient les pommes de terre.
Les paysans faisaient du beurre avec de la crème de lait de chèvre. Cela faisait longtemps que la terre n’était plus travaillée, il n’y avait plus d’engrais et une quinzaine de moutons ne donnent guère de fumier. »
[1] Il n’est pas trop tard pour parler de Résistance.
[2] Le document est aux Archives de la Drôme, coté 327 J 368. Je remercie le directeur des archives et son personnel de la mise à disposition d’une copie.
Il y a du monde sur les marges : comment Marcel Légaut contribuait à diffuser sa réflexion
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Une documentation écrite permet, de juillet 1986 à octobre 1990, de saisir comment la réflexion de Marcel Légaut était diffusée, avec humour, par un « conférencier mondain ». En 1986, Marcel Légaut a son œuvre derrière lui ; il a suffisamment explicité dans nombre de « médit »(ations) que la mort vient mettre une borne à notre existence, et que certains vont vers leur mort, à commencer par le Maître jadis… Et, de fait, le « prédicateur itinérant » moderne épouse la mort en Avignon, le 6 novembre 1990. Les différentes communautés avec lesquelles il a vécu et qui se sont organisées autour de lui aboutissent à la possibilité de séjours communs à Mirmande ou à des conférences ; ses dix-huit ouvrages ont paru, les derniers étant centrés sur l’Église : Croire en l’Église de l’avenir (1985), et un dialogue exigeant d’Un homme de foi (avec) son Église, en 1988.
Arrivent donc à Valcroissant, aux Granges, à Mirmande, des courriers lui demandant des interventions proches. Légaut les a classés par mois, avec un récapitulatif sur une feuille 21/29,7, dactylographiée et corrigée de sa main, qui, pliée, sert de couverture. Agenda, horaires de chemin de fer, questions concrètes d’hébergement (aucune question financière, Légaut donne son temps) permettent de voir comment fonctionne cette galaxie, de février 1986 à octobre 1989[1].
Carte vraisemblablement de Tante Zette, l’épouse d’André Glossinde à Marie-Ange Girard
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Carte (vraisemblablement de Tante Zette, l’épouse d’André Glossinde à Marie-Ange Girard, le 10 décembre 1982)
Les documents attestant des relations humaines entre membres du groupe Légaut sont rares, appartenant à la sphère privée, à laquelle l’historien a rarement accès. Un chemin balisé conduit toutefois à l’un ou l’autre document. Au point de départ, Marguerite Rossignol, l’épouse de Marcel Légaut. Sa formation d’assistante sociale, aux tous débuts de cette profession, amène à jeter un œil sur les écrits de Madeleine Delbrêl, à commencer par Nous autres gens des rues. À Mirmande, où finissent par se loger des bibliothèques de camarades disparus (celle de Bernard Bœuf est entrée l’an passé et il existe une étude de la lecture effectuée par ce dernier sur le site de l’ACML, rubrique Histoire), se trouvait Alcide. Guide simple pour simples chrétiens, fruit de réflexions de Madeleine Delbrêl, édité en 1966 au Seuil, puis réédité, notamment en 1980. Dans cet ouvrage, une carte illustrée d’une naissance de Jésus, tapisserie du milieu du XVIe s., imprimée par les puissantes éditions de l’abbaye bénédictine de Beuron, fondatrice de Maredsous… Et Tante Zette (+ 1994), lumineuse épouse d’André Glossinde (+ 1989), d’envoyer Alcide à Marie-Ange Girard et de lui écrire :
Colloque international du centenaire du groupe Légaut
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Colloque international du centenaire du groupe Légaut
(Valence, Archives départementales, 10-11 septembre 2025).
DANS UN SIECLE OU DEUX, QUAND UN NOUVEAU BREMOND... (1)
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[A propos de Jean Guitton ]
Les années qui suivirent le premier conflit mondial marquèrent pour toute leur vie et de façon spécialement bénéfique les jeunes qui achevaient alors leurs études. Pendant leur adolescence, ils avaient déjà reçu la formation sévère mais tonique des années de guerre, marquées d’un patriotisme et d’un civisme dont il est difficile de se faire aujourd’hui une idée exacte.
D’autre part, les promotions d’après-guerre des grandes écoles réunirent des démobilisés des classes les plus récentes et des jeunes que la conscription n’avait pas encore atteints. Ces derniers, dont faisait partie Jean Guitton, gagnèrent beaucoup à ce contact journalier avec leurs camarades d’études, à peine plus âgés qu’eux, mais déjà mûris par la dure existence qu’ils venaient de mener (2).
L’implosion ? Entretiens sur le présent et l’avenir du catholicisme
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Danielle Hervieu-Léger, Jean-Louis Schlegel
Seuil, 2022, 392 p.
Un livre d’entretien entre deux auteurs au courant des débats actuels et ayant travaillé à partir d’un constat : le catholicisme est devenu minoritaire en France, et la tendance est lourde, accentuée par la publication de la Commission indépendante sur les abus sexuels de l’Église (CIASE), en octobre 2021, qui a révélé 330.000 victimes sur soixante-dix ans. S’y ajoute la divergence entre catholiques à l’égard de la célébration de la messe par temps d’épidémie :
« […] l’épisode a confirmé que l’Institution est en train de perdre le contrôle sur l’image que l’Église entend donner d’elle-même dans la société. Des laïcs, issus d’un courant circonscrit au sein de l’Église, ont pris l’initiative du recours devant le Conseil d’État, en se présentant de leur propre chef comme l’expression de la voix des catholiques. Le coup a été réussi, mais au prix d’une défaite de la majorité des évêques par rapport à une minorité activiste « tradi » (p. 51-52).
Centenaire du groupe Légaut - 1925-2025
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Le centenaire du groupe Légaut en 2025.
En 1925, à la rentrée, Marcel Légaut, à Normale sup. va méditer les évangiles avec des normaliens de Saint Cloud, ouvrant ainsi l’univers du premier degré de l’enseignement à sa réflexion, celle d’un laïc. Le groupe Légaut, sans grande ossature, naît et après des péripéties variées, de Paris à Chadefaud dans le Massif Central, puis Les Granges de Lesches et Mirmande dans la Drôme, perpétue ses rencontres jusqu’à ce jour.
Il y aura plusieurs manifestations en 2025. Certes le conseil d’administration des 14-16 février 2023 a validé trois évènements :
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La mise en numérisation de l’oeuvre complète de Marcel Légaut, avec sa mise à disposition par le site de l’ACML. Paul Roux a piloté l’ensemble avec l’aide de nombre de membres de l’ACML, Serge Couderc, Jean-Jacques Chevalier, Jocelyn Goulet, Chantal Decoorebyter, François-Xavier Légaut, Dominique Roux, Rémy Légaut, Dominique Lerch, ...
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Une date : 10 septembre 2025 est à retenir à Valence aux Archives départementales (à côté de la Préfecture). Vous trouverez ci-joint l’appel à contributions qui concerne la vie des groupes, le rayonnement de Marcel Légaut, son apport, ses racines. N’hésitez pas à proposer des éléments, nous pourrions avoir une partie d’échanges sur la vie des groupes en suite des communications. Mais nous aurons aussi besoin de quelques coups de main pour l’accueil des communicants, l’hôtellerie, les repas, surtout si la journée d’études devient un colloque international où l’Espagne et le Québec sont d’ores et déjà partants et où nous ne désespérons pas d’avoir une contribution belge.